A ce jour le coronavirus « Covid-19 » a déjà infecté des milliers de personnes et des nouveaux cas sont déclarés chaque jour en Chine et hors de Chine. Des mesures auraient-elle pu être prises en amont pour éviter le risque de pandémie ? C’est ce que nous apprenons dans un article paru dans Forbes début février et qui a attiré notre attention : « Coronavirus: Can AI (Artificial Intelligence) Make A Difference ? »

#1. L’Organisation Mondiale de la Santé VS Blue Dot, le lanceur d’alerte

Les premiers cas de coronavirus ont été découvert dix jours avant l’alerte émanant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Qu’est-ce que nous apprend cet article ? On y découvre qu’une entreprise canadienne, Blue Dot, a lancé l’alerte dès le 31 décembre 2019 grâce à l’Intelligence Artificielle (IA). Dès lors, dans quelle mesure l’IA peut apporter son aide dans le cas d’une épidémie ? Dans cet article, je passerai également en revue l’IA au service de la santé.

Qui est Blue Dot ? L’entreprise, lanceur d’alerte, est une start-up canadienne, spécialisée dans l’IA. Elle utilise une technique très sophistiquée pour prévoir et prévenir la propagation de maladies infectieuses telles que le coronavirus.

En effet, Blue Dot propose une plateforme d’IA très avancée, ce qui lui a permis de communiquer très rapidement auprès des autorités de santé concernées sur les risques de propagation. Comment fonctionne la plateforme mise en place par Blue Dot ? La plateforme passe au crible des milliards de données issues de l’actualité, des documents officiels, de reportages ou de bulletins de santé dans soixante-cinq langues relatifs à cent maladies différentes.

#3.La place de l’IA dans la santé

 

Quelle est la place de l’IA dans la santé aujourd’hui ? L’IA s’applique dans de nombreux domaines, dont la santé. Jusqu’à maintenant, on entendait parler de l’IA notamment en terme de qualité de soins, le suivi des patients, les prothèses intelligentes ou encore les opérations. Les algorithmes sont, en effet, au cœur de la médecine de demain. On apprend dans le  journal 20 minutes qu’un médicament a été mis au point grâce à l’IA au Japon pour traiter les troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Du développement jusqu’aux essais cliniques, le traitement aura mis environ un an au lieu de quatre ans habituellement.

 

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